BOTSWANA Réserve de Moremi, dans le delta de
BOTSWANA
Réserve de Moremi, dans le delta de l'Okavango.
Vautour africain.
Pont de Third Bridge.
Promenade en mokoro à Mboma Island.
Meute de 8 lions près du camp de Third Bridge.
Embouteillage devant les lions !
Des babouins se mettent à paniquer en sentant les lions.
Promenade en barque dans le lagon de Xakanaxa.
La route est inondée en cette saison, et la borne d'un croisement se retrouve au milieu d'un étang.
Cob lechwe.
Hyène tachetée dans le camp de Xakanaxa.
De retour de game drive à la nuit tombée, nous tombons sur cette hyène qui visiblement a pris l'habitude de rôder autour du camp pour grappiller quelques restes de nourriture. Après le dîner, nous partons faire la vaisselle au bloc sanitaire, situé à une centaine de mètres de notre véhicule. Je sais que la hyène est là, quelque part dans le noir, à nous observer. L'envie me prend de tester son flair en laissant par terre un bout de viande. De retour 5 minutes plus tard, la friandise a bien sûr disparu !
Traversée du pont menant au parc de Chobe.
Nous n'avons pas assez d'essence pour suivre la piste jusqu'à Kasane. Il n'y a aucune station à 200 km à la ronde, et les 4X4 consomment beaucoup plus sur les pistes sablonneuses que sur les routes en bitume. Pour aller au Chobe en passant par Moremi, il faut donc avoir fait le plein à Maun et avoir une réserve d'essence d'au moins 4 bidons de 20 litres.
Vol au-dessus du delta de l'Okavango.
Troupeau de buffles.
Depuis les airs, on distingue bien les sillons créés dans les marécages par le passage des hippopotames et des éléphants.
Maun.
Randonnée dans les Tsodilo Hills.
Le site abrite quelques 4 500 peintures rupestres datant de plusieurs siècles. Les Bushmen ont représenté notamment des animaux sauvages aujourd'hui disparus de la région, à une époque où un lac s'étendait au pied des Monts Tsodilo, attirant de grands mammifères comme les girafes, les élans, les rhinocéros et les zèbres.
Nous avons faillit ramener un chien du Botswana...
Cette pauvre bête qui errait dans le camping de Tsodilo Hills avait poussé un gémissement en recevant une pierre que lui avait lancé un jeune Africain. De concert avec une famille d'Afrikaners qui campaient à proximité, nous nous étions insurgés devant cette brutalité. Nous avions alors consolé de notre mieux le chien avec moult caresses et une bonne casserole de riz : il n'en avait pas fallu plus pour qu'il se mette à hurler de désespoir quand il nous avait vu plier la table et les chaises. "Emmenez-moi, emmenez-moi" semblait-il nous dire.Il croyait que nous partions définitivement, mais nous allions juste faire une randonnée dans les montagnes. Il a fait tout ce qu'il a pu pour entrer dans la voiture, mais nous ne voulions pas lui donner de faux espoirs. Camille n'a pas pu retenir ses larmes, et nous nous sommes mis en route.
C'était déchirant de voir ce chien trotter obstinément derrière notre voiture. Il aurait été capable de nous suivre jusqu'à l'épuisement de ses forces. C'est pourquoi je m'efforçais d'avancer lentement pour lui éviter le coup de chaleur. Devant cette émouvante démonstration de reconnaissance et d'amour, il me fallait réprimer à chaque instant un insidieux vague à l'âme faisant remonter à la surface certains mauvais souvenirs d'enfance. Comme l'on pouvait s'y attendre, le chien nous a suivi courageusement jusqu'au sommet de la montagne, escaladant les rochers avec ses pauvres griffes usées par une vie dans la brousse. Quand je l'aidais dans des passages difficiles, il se collait tendrement contre moi, d'un air de dire "Alors tu m'aimes donc un peu".
De retour au camp, le chien a dormi au pied de notre véhicule. Tourmenté par un odieux dilemme, je n'ai pas fermé l'oeil de la nuit. J'aurais été prêt à le passer en fraude à la frontière namibienne, puis à payer le transport aérien et la quarantaine. Mais en France, je n'étais pas en mesure de lui offrir les conditions d'une retraite tranquille...
Drotsky's cabins.
Martin-pêcheur pie.
Martin-pêcheur huppé.
Guêpier à front blanc.
Anhinga roux.